Prix du CHR Digital (ex Prix du Resto Digital)
Lancés l’an dernier par Libeo – spécialiste du paiement entre entreprises – les Prix du Resto Digital de l’Année sont de retour pour une 2e édition baptisée Prix du CHR Digital et présidée par Thierry Marx.
Soutenus par plus de 20 entreprises partenaires de la foodtech et représentants de la profession, ils ouvrent cette année leur spectre à l’hôtellerie et récompenseront, une nouvelle fois, les acteurs du secteur ayant su se renouveler face aux enjeux économiques, sanitaires et environnementaux.
« Nous avons décidé de rajouter une catégorie dédiée à l’hôtellerie afin de couvrir l’ensemble du secteur CHR. Nous 
organisons donc cette année le Prix de l’hôtel Digital de l’Année. Les hôteliers ont également souffert durant des mois suite aux mesures sanitaires, connaissent eux aussi une pénurie de main-d’œuvre et sont confrontés à une diversité de challenges. Nous sommes convaincus que le digital offre des opportunités de croissance et plusieurs leviers permettant d’améliorer les opérations », déclare Pierre Dutaret, CEO et cofondateur de Libeo.
À noter que la catégorie « hôtellerie » comptera pour ambassadeurs François Dapremont – propriétaire de l’hôtel Balmoral à Paris – et Si Zyadh Si Hocine, directeur du Grand Hôtel Français et du Grand Hôtel Doré à Paris.
Par ailleurs, outre la cohérence d’ensemble de la stratégie digitale et son impact sur la réussite du restaurant, une dimension environnementale sera ajoutée aux critères de sélection afin de sensibiliser la profession et de récompenser les acteurs les plus avancés dans la maîtrise de leur impact carbone.
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 31 octobre 2022 à tous les restaurants et hôtels ayant adopté de nouveaux services digitaux. Les lauréats, qui seront annoncés et recevront leurs prix en décembre, remporteront notamment un chèque de 5 000 € pour financer le projet digital de leur choix et bénéficieront de la gratuité de plusieurs solutions partenaires.
Pour rappel, 380 candidatures avaient été déposées lors de la première édition, qui avait récompensé Magna, O’Tacos, Gabin, Ninkasi ou encore l’Entrepotes pour leurs efforts de digitalisation en pleine crise sanitaire.
Par Morgane Buland et Inès Evrain
